On découvre

20 000 km sur les mers: carnet de voyage.

Des nouvelles de nos ambassadeurs sur les mers. Après de nombreuses péripéties au départ et lors de leurs escales ils sont arrivés en Guadeloupe.

Un départ compliqué

Le départ a été retardé à cause d’une panne de la pompe à l’huile qui est essentielle au bon fonctionnement du moteur. La mauvaise météo n’a pas aidé non plus et a contribué à retarder la date de départ de plusieurs jours.

Les aléas du voyage en mer

Durant la traversée, notre joyeuse équipe a dû faire face à plusieurs pannes moteur de pompe à huile, de refroidissement, de pompe à eau de mer mais également de pannes batterie cumulé à la panne moteur ce qui a eu pour conséquence 3 jours en haute mer sans frigo, eau courante, pilote auto, feux de navigations etc… Un moment très difficile pour le moral surtout lorsqu’ils étaient coincés au large du Maroc avec un vent proche de 0 nœud. Tout comme lorsque le désalinisateur est tombé en panne à son tour engendrant 4 jours sans douche et vaisselle.

Au grands maux, les grands remèdes

Quelles que soient les galères, l’entraide et la solidarité de l’équipage leur ont permis de trouver des solutions de fortune. Quand la grande voile et la voile légère ont été déchirées et abimées de façon irréversible, ils ont mis en place un atelier couture sur une journée complète en plein milieu de l’océan Atlantique avant de pouvoir repartir.

Pour chaque panne moteur ils ont réussi à trouver des astuces système D où ont parcouru des kilomètres à terre avant de trouver la bonne pièce ou le bon mécano pour les aider… tous les problèmes ont trouvé une solution.  

Le problème le plus compliqué quand on vogue sur les mers est finalement la météo. Elle est imprévisible et non maitrisable et pouvait engendrer une houle et des creux de 3m.

De belles rencontres et moment inoubliables

Malgré toutes les galères et les problèmes, les instants merveilleux font oublier tous les tracas.

Cette aventure humaine restera gravée dans leurs mémoires pour toute leur vie. C’est un vrai défi sportif et individuel qu’ils ont réussi à relever en arrivant en Guadeloupe. Un grand bravo à notre chouchoute qui ne s’est finalement pas arrêtée aux Canaries. Elle a fait face aux craintes et aux tracas quotidiens comme un vrai matelot !

Ils profitent d’un moment de calme avant le retour en avion et la reprise de la saison le 1er mars. Le bateau quant à lui restera en Guadeloupe en location.

Pour retrouver le début de l’aventure venez sur notre article 20 000 km sur les mers au départ de La Grande Motte

Retrouver ici l’équipe et les prestations d’Etrave Croisière.

Vous aimerez peut être aussi :

Aucun commentaire

    Répondre

    Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.